Pour y voir plus clair, il suffit de cocher une réponse pour chaque proposition du tableau ci-dessous ((Vrai-Faux) et de considérer le score final.
Aucun facteur n’est absolument déterminant en soi. La multiplication de facteurs favorables ou non peut cependant aider à trancher (1).
1. Aucune des personnes qui ferait l’objet de la médiation n’a le pouvoir de trancher seule la question de manière pleinement satisfaisante
Vrai
Faux
2. Les parties impliquées ont (au moins en partie) besoin l’une de l’autre pour avancer
Vrai
Faux
3. Les parties se reconnaissent comme interlocuteur pour l’enjeu considéré
Vrai
Faux
4. Les enjeux du problème sont dans la sphère d’autonomie des personnes considérés et ne reposent pas exclusivement sur des décisions prises à un autre niveau
Vrai
Faux
5. L’intervention d’un médiateur ne serait pas mal perçue dans l’entreprise (aussi bien au niveau de la base que de la hiérarchie)
Vrai
Faux
6. L’intervention d’un tiers ne serait pas mal perçue, (dégradation ou manque d’autorité )
Vrai
Faux
7. Le coût de la médiation (le temps du médiateur, sa rémunération, la mobilisation de personnes durant le temps de travail…) est raisonnable compte tenu des enjeux directs et indirects
Vrai
Faux
8. Les deux parties ont intérêt à un arrangement négocié
Vrai
Faux
9. Les deux parties auront ou souhaitent avoir des relations dans le futur
Vrai
Faux
Résultat : si le nombre de mentions FAUX est supérieur au nombre de mentions VRAI, la médiation est déconseillée comme mode de résolution du conflit.
(1) Ce questionnaire provient de " La médiation en entreprise ", ouvrage rédigé par Arnaud Stimec, et considéré comme une référence pour les médiateurs du Groupe MEDIATION-NET.